« Découverte du métier de chauffagiste lors du remplacement d’un salarié dans l’entreprise du père de mon meilleur ami.

Passion immédiate pour ce métier : travail des métaux, chaleur, combustion, et satisfaction d’apporter du confort avec un chauffage central.

Intégration rapide dans l’entreprise grâce à mon intérêt et ma capacité d’apprentissage. Décision de passer le CAP de chauffagiste en candidat libre pour juin 1998.

Immense investissement : soirées et week-ends à cintrer, souder et étudier le chauffage.

Réussite à l’épreuve : premier en atelier, malgré seulement un an d’expérience dans le métier. »

« Je reste dans cette entreprise, ce qui me permet d’installer et de concevoir tous types de chaufferies au fioul et au gaz, des énergies très populaires à l’époque.

Cette période me permet de maîtriser l’installation de grandes chaufferies et de perfectionner mes compétences.

Réussite à l’épreuve : premier en atelier, malgré seulement un an d’expérience dans le métier. »

« Lors de ma visite au salon Bois Énergie de Lons-le-Saunier, je rencontre un installateur suisse spécialisé dans les chaufferies bois et le solaire thermique. D’abord sceptique, je suis invité à découvrir son travail.

Dès mon entrée dans une chaufferie à granulés, je suis impressionné par l’efficacité et la technicité.

Entouré de forêts, il me dit : « Pourquoi chercher du pétrole et de l’uranium à l’autre bout du monde quand l’énergie est tout autour de nous ? » Cette expérience me pousse à remettre en question mon métier. Je cherche une entreprise pour travailler exclusivement avec ces énergies.

Par chance, je trouve une offre d’un atrier cheministe cherchant à développer les chaufferies bois et le solaire thermique. Je décide de quitter mon poste actuel et m’investis pleinement dans cette nouvelle mission. »

« Au sein de cette entreprise, j’avais carte blanche pour développer un nouveau service, ce qui en fit mes années les plus difficiles : 80 heures par semaine pour tout créer. Il fallait trouver les bons fabricants, le bon matériel, vendre, mettre en œuvre et coordonner les chantiers.

J’ai ainsi installé mes premières chaufferies bois-solaire. Voir que ces solutions fonctionnent, sont économiques et respectueuses de l’environnement fut un immense plaisir.

J’avais définitivement tourné la page des énergies fossiles. »

« Présent au salon en tant qu’exposant, je présentais du matériel pour le chauffage central à bois.J’ai rencontré le manager export d’un fabricant, partageant la même passion et vision du chauffage au bois.

Deux jours plus tard, il m’a invité en Italie pour découvrir l’usine.Là, j’ai vu l’industrie, la R&D et les personnes derrière le produit.À la fin de cette visite, la direction m’a proposé de devenir le responsable technique et commercial pour tout le marché français.

Après une semaine de réflexion et une discussion avec mon patron actuel, j’ai décidé de relever ce nouveau défi. Mon patron, reconnaissant que ma mission dans son entreprise était accomplie, m’a encouragé à saisir cette opportunité.

C’est ainsi, avec le sentiment du devoir accompli, que j’ai quitté sa société pour découvrir de nouveaux horizons. » 

« Après sept années de travail intense, j’ai réussi à établir une marque inconnue en 2008, JM, comme référence dans le chauffage au bois en 2015.

J’avais tout mis en place, prêt à récolter les fruits, mais j’ai décidé de partir malgré l’insistance de mes patrons.

J’avais besoin de fraîcheur et de repos après 18 ans de travail acharné depuis 1997. La naissance de ma fille m’a fait réaliser l’importance de lui consacrer du temps. »

« Lorsque j’ai eu l’opportunité de travailler en Nouvelle-Calédonie en tant que responsable marché dans une entreprise de négoce de matériel de plomberie, j’ai immédiatement accepté.

Pendant deux ans, situés dans le nord de l’île, au cœur du fief indépendantiste kanak, ma femme et moi avons découvert un nouveau monde et une autre culture. Rencontrer ces personnes formidables et découvrir leurs coutumes a été une expérience enrichissante, presque plus un voyage qu’une expérience professionnelle.

Cependant, après deux ans, le mal du pays, du froid et de mon métier de prédilection, le chauffage au bois, nous a poussés à rentrer. »

« De retour dans le Lot, ma région de prédilection, j’ai décidé de mettre à profit toute mon expérience, mon savoir-faire et mes compétences au service des clients.

C’est ainsi que j’ai pris la décision de créer AQUAROC, où « AQUA » fait référence à l’eau, fluide caloporteur chauffant les radiateurs, et « ROC » à Rocamadour, où se situe le siège de l’entreprise depuis ses débuts. »

« Nous avons ouvert notre magasin à Rignac, convaincus de l’importance d’avoir une boutique avec des produits en exposition et en fonctionnement pour développer notre entreprise.

Aujourd’hui, notre structure nous permet de vous accueillir dans les meilleures conditions.

Avec une équipe de 6 personnes en plus de moi-même, chacune apportant ses compétences, nous visons à offrir un service optimal.

Dès 2021, nous avons instauré la semaine de 4 jours pour favoriser l’équilibre entre vie professionnelle et personnelle, une décision qui contribue au bien-être de notre équipe. »

« Valorisons l’énergie bois et solaire pour un avenir durable. Avec 1000 emplois locaux créés dans le secteur de l’énergie bois, nous contribuons à l’amélioration écologique et économique de notre territoire.

Notre engagement est de devenir une référence départementale en proposant des produits et services de qualité, tout en participant activement aux changements à venir. »